Darwin et Litchfield National Park

Publié le par Marine et Adrien

Darwin : point le plus au Nord de notre périple australien. Après s’être gelé dans le centre  rouge, cette fois on crève de chaud ! On a retrouvé l’océan et son air salé … mais on peut  toujours pas se baigner : les méduses et crocos investissent ici aussi les lieux !

On s’est baladé dans cette petite ville relativement touristique mais bien sympa. Darwin a été plusieurs fois complètement détruite à la suite de bombardements pendant la seconde guerre mondiale, mais aussi à cause de plusieurs cyclones.

On a aussi visité le musée du Northern Territory où sont exposé d’horribles bebettes locales, mais qui se consacre aussi à la culture aborigène de la région, aux cyclones dévastateurs …

Autour de Darwin se trouvent des dizaines de parcs nationaux, dont certains sont vraiment très renommés. On a donc passé le weekend au Litchfield National Park, parc connu pour les nombreuses rivières et cascades où on peut s’y rafraichir … et on en a besoin ! Par contre, les crocodiles aussi sont des habitués, donc mieux vaut faire attention aux panneaux et regarder autour de soi avant de piquer une tête !

Ici, la région et ses paysages sont complètement différents selon si l’on est pendant le Wet (saison humide) ou le Dry (saison sèche).

Le Wet, c’est la saison pluies, donc l’air est très chaud et humide (plus de 40°) et d’immenses parties du territoire sont inaccessibles car complètement inondées. On a du mal à y croire tellement certains de ces endroits sont secs en dehors de cette période.

En ce moment on est en pleine saison sèche, ce qui signifie : pas une goutte de pluie pendant des mois, environ 30° tous les jours et peu d’humidité … donc période la plus appropriée pour les cultures.

On a refait du porte à porte pour chercher un job … et on a trouvé ! On bosse depuis fin juin dans une ferme où une famille de vietnamiens cultive, entre autres, des milliers de concombres. La ferme est vraiment perdue au milieu de nulle part, donc pas grand-chose à faire à part bosser : quasiment 70h cette semaine. Le premier accès à Internet est à plus de 50km, donc on risque de ne pas trop donner de nouvelles ces temps-cis.

On compte y rester quelques semaines, pour renflouer les caisses avant de continuer notre périple.

Publié dans Journal NT

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